Le DRH, le difficile chemin de la nouveauté et les soft skills !

« Toute vérité passe par trois étapes : d'abord elle est ridiculisée, ensuite elle est violemment combattue, et enfin elle est acceptée comme une évidence » Schopenhauer[1].
« Eppur si muove » « Et pourtant, elle tourne » est une affirmation attribuée à Galileo Galilei[2], selon le principe que l’on prête qu’aux riches. En sa qualité d’homme de science en avance sur les idées de son temps sur l'astronomie observationnelle, il a défendu la démarche héliocentrique de Copernic[3] selon laquelle la terre tourne autour du soleil, centre de l'Univers. L’Église catholique a appliqué avec détermination, constance et pouvoir les deux premières étapes du raisonnement de Schopenhauer avec la capacité que fournit l’inquisition lors de procès dont l’issue est préétablie. Il échappa au buché purificateur de son âme. Il fut condamné à la résidence surveillée à vie. Il faut attendre, avec patience, 1835 pour que le Saint-Office lève l’interdiction de publication des ouvrages de Copernic et Galilée favorables à l'héliocentrisme en application du 3e terme du raisonnement de Schopenhauer.
Le raisonnement en trois étapes de la vérité, de la nouveauté est attribué à Schopenhauer en tant que tel. Il n’est jamais cité précisément, il est issu de ses travaux[4] en forme de synthèses pratiques pour faire comprendre comment les idées nouvelles deviennent des vérités acceptées. L’intelligence artificielle générative conversationnelle propriétaire appliquée à la modélisation des soft skills n’échappe pas à ce mode de pensée.
La nouveauté, le ridicule, le combat, l’évidence, l’intelligence artificielle et les soft skills, oui, mais quoi ?
« La vraie mesure d'un homme n'est pas comment il se comporte dans des moments de confort et de commodité, mais comment il se tient dans des moments de défi et de controverse » Martin Luther King Jr.
L’univers contemporain du numérique nous propose des cas aussi flagrants que celui du XVIe siècle. L’histoire des relations entre Microsoft et IBM est tout aussi édifiante que fascinante. IBM, en 1980, a cherché à se développer sur le marché de l’informatique personnelle avec son PC. Le système d’exploitation créé par ses ingénieurs était alors insatisfaisant. Il se tourna vers une jeune société, Microsoft pour leur acheter leur système. Un accord fut signé. Bill Gates cofondateur a acheté le système 86-DOS à Seattle Computer Products, inventé par Tim Paterson. Il fut vendu sous licence à IBM sous le nom de MS-DOS. Une clause du contrat avait échappé à la vigilance des juristes d’IBM celle de l’exclusivité. Microsoft proposa le MS-DOS aux sociétés en capacité de créer un PC, hors process IBM. Celles-ci enfermaient des ingénieurs sans contact extérieur avec pour cahier des charges celui d’un PC pour créer leur propre clone de PC, dit clean, propre de toute copie du PC d’IBM. A ce moment Schopenhauer intervient, le dénigrement, le ridicule de la Direction générale d’IBM rentra en lice. Elle jugea que l’achat de Microsoft était superflu au regard de la puissance du Big Blue. Ce fut une erreur à plusieurs millions de dollars. À ce jour le PC et ses dérivés numériques sont une évidence.
Les exemples d’application de la trilogie de Schopenhauer sont aussi variés que nombreux :
L’Informatique personnelle et Internet 1970 :
- Ridiculisée : Dans les années 1970 et au début des années 1980, l'idée que tout le monde pourrait avoir un ordinateur personnel à la maison était souvent ridiculisée comme étant inutile ou irréaliste.
- Combattue : Il y a eu des résistances initiales, notamment de la part des entreprises établies qui ne voyaient pas l'intérêt de cette nouvelle technologie.
- Acceptée : Aujourd'hui, les ordinateurs personnels et Internet sont omniprésents dans notre vie quotidienne, transformant la manière dont nous communiquons, travaillons et vivons.
Le Deuxième Sexe" de Simone de Beauvoir[5] 1949 :
- Ridiculisé : Lors de sa publication en 1949, "Le Deuxième Sexe" a été ridiculisé par certains pour ses idées radicales sur le féminisme et la condition des femmes.
- Combattu : Le livre a suscité une vive opposition, notamment de la part des institutions religieuses et conservatrices.
- Accepté : Aujourd'hui, "Le Deuxième Sexe" est reconnu comme une œuvre fondamentale du féminisme et des études de genre, influençant des générations de lecteurs et de penseurs.
L’Impressionnisme 1870 :
- Ridiculisé : Lorsque les premiers tableaux impressionnistes ont été exposés dans les années 1870, ils ont été moqués et ridiculisés par la critique et le public pour leur style non traditionnel et leurs techniques de peinture novatrices.
- Combattu : Les impressionnistes ont rencontré une forte opposition de la part des institutions artistiques établies, telles que l'Académie des Beaux-Arts, qui privilégiaient les styles classiques.
- Accepté : Aujourd'hui, l'impressionnisme est célébré comme l'un des mouvements les plus influents de l'art moderne, avec des œuvres de Monet[6], Renoir[7], Degas[8] et des autres admirées dans le monde entier.
Airbus :
- Ridiculisé : Lors de sa création en 1970, Airbus a été ridiculisé par certains qui pensaient qu'une collaboration européenne ne pourrait pas rivaliser avec les géants américains comme Boeing.
- Combattu : Airbus a dû surmonter de nombreux défis financiers et techniques, et a rencontré de la résistance de la part de compagnies aériennes et de fournisseurs qui étaient fidèles à Boeing.
- Accepté : Aujourd'hui, Airbus est l'un des principaux fabricants d'avions commerciaux au monde, reconnu pour ses innovations technologiques et sa qualité.
« Star Wars » de George Lucas[9] (1977) :
- Ridiculisé : Avant sa sortie, de nombreux sceptiques ont ridiculisé "Star Wars" en pensant que ce serait un échec commercial en raison de son mélange inhabituel de genres et de ses effets spéciaux novateurs.
- Combattu : Le film a rencontré des obstacles financiers et techniques avant sa sortie, et certains studios ont hésité à le distribuer.
- Accepté : "Star Wars" est devenu un phénomène culturel mondial donnant naissance à une franchise massive et influençant des générations de cinéastes et de spectateurs.
« Harry Potter » de J.K. Rowling[10] 1997 :
- Ridiculisé : Lorsque le premier livre, "Harry Potter à l'école des sorciers", est sorti en 1997, certains critiques et membres du public ont moqué l'idée d'une série de livres pour enfants sur un jeune sorcier, la considérant comme une simple fantaisie sans profondeur.
- Combattu : Les livres ont été critiqués par certains groupes religieux et conservateurs qui les ont accusé de promouvoir la sorcellerie et la magie, conduisant à des tentatives d'interdiction dans certaines écoles et bibliothèques.
- Accepté : Aujourd'hui, Harry Potter » est disponible sur 7 livres à 550 millions d’exemplaires en plus de 80 langues, 8 films et une série télévisée pour 2027, 3 Parcs à thème : Les Wizarding World of Harry Potter à Orlando, Hollywood et Osaka provoquent plus de 40 millions de visiteurs annuels avec en plus des produits dérivés et des événements dédiés.
Ces exemples montrent comment le commerce, l’industrie, les idées et autres formes d'art, voient des idées novatrices traverser des phases de ridicule, de combat, puis d'acceptation.
La nouveauté, le ridicule, le combat, l’évidence, l’intelligence artificielle et les soft skills, oui, mais comment ?
« Si vous comprenez les autres, vous êtes intelligent. Si vous vous comprenez vous-même, vous êtes éclairé. Si vous pouvez conquérir les autres, vous avez de la force. Si vous pouvez vous conquérir vous-même, vous êtes puissant » Lao-Tzu[11]
La démarche attribuée à Schopenhauer s’applique aux soft skills, à l’intelligence artificielle et avec certitude à l’usage du premier par le second.
Les soft skills : Pour comprendre la situation, il faut se pencher sur l’origine des soft skills. Il a fallu que l’armée américaine essuie les échecs des guerres de Corée et du Viet Nam pour faire cesser le phantasme de la supériorité des compétences générales sur celles liées aux relations humaines [12]. Ce travail de recherche avait pour but de distinguer les activités qui mettent en œuvre l’expertise de contenus « hard skills » de celle qui traite des relations avec les personnes « soft skills ». Cela a engendré la définition initiale des soft skills comme étant « Compétences liées à l’emploi impliquant des actions affectant les relations humaines ». Cette décision a défini et uniformisé le contenu enseigné dans les cours en supprimant la notion de compétences générales[13] de la terminologie de l’ingénierie des systèmes de formation.
Ridiculisés : Au départ, les soft skills étaient souvent sous-estimés. On considérait que seules les compétences techniques (hard skills) avaient de la valeur. Les qualités comme l'empathie, la communication ou l'intelligence émotionnelle étaient vues comme secondaires, voire inutiles.
Combattus : Les soft skills ont longtemps été bataillés par l’ignorance, la suffisance. Dans les années 1980 -1990, les écoles d’ingénieurs et de commerce mettaient l’accent sur les compétences techniques et analytiques, négligeant les soft skills au second plan. Les enseignements sur la négociation, la vente, le comportement étaient tout simplement ignorés. Dans leur article « Les soft skills au cœur du portefeuille de compétences des managers de demain [14]» Delphine Theurelle-Stein et Isabelle Barth démontrent l’inertie existante des soft skills comme « une notion faible pour des enjeux forts » avec une absence de terminologie consensuelle et elles précisent : « La littérature, confrontée aux résultats des différentes études de terrain, montre que l’identification, l’évaluation et l’apprentissage des soft skills ne vont pas de soi … la valeur de l’exemple et la validation des pairs constitueraient par ailleurs des facteurs clés de succès du développement des soft skills. Le monde du travail a pris le temps de réfléchir sur la réalité des relations humaines et la nécessité de maitriser cette compétence.
Acceptés : Aujourd'hui, les soft skills sont largement reconnues comme essentielles. Elles sont devenues un critère clé dans le recrutement et la gestion des talents. Des études montrent que des compétences comme la collaboration, l'adaptabilité et la gestion du stress sont cruciales pour la réussite professionnelle comme par exemple :
Une étude menée par Harvard, Stanford et la Carnegie Foundation[15] a révélé que 85% du succès professionnel dépend des soft skills, contre seulement 15% pour les compétences techniques. Cette statistique provient d'une étude ancienne intitulée A Study of Engineering Education, publiée en 1918 par la Carnegie Foundation. Elle a été extrapolée à partir de travaux de recherches.
Chaque année le World Economic Forum classe les soft skills parmi les 10 compétences les plus importantes pour l’avenir du travail incluant la créativité, la résolution de problèmes et l’intelligence émotionnelle.
Le World Economic Forum publie chaque année le rapport Future of Jobs[16], qui analyse les compétences les plus demandées par les employeurs. Selon l'édition 2025, les 5 premières compétences attendues sont : Pensée analytique – Résilience, flexibilité et agilité – Leadership et influence sociale – Créativité et pensée innovante – Motivation et conscience de soi.
Skill Survey [17]révèle que 67 % des responsables RH préfèrent embaucher un candidat ayant de fortes soft skills, même si ses compétences techniques sont moins développées.
Selon France travail [18]: « D’ici à 2030, les soft skills seront au cœur des stratégies de recrutement des entreprises ».
L'évolution des soft skills suit parfaitement le raisonnement de Schopenhauer : d'abord ignorées, puis contestées, elles sont aujourd'hui une évidence dans le monde du travail. Les compétences comportementales, les soft skills ont un bel avenir.
L’intelligence artificielle : Pour comprendre la situation, il faut se pencher sur l’origine de l’intelligence artificielle. Marvin Minsky (1927-2016), professeur au MIT et l'un des pères fondateurs de l'intelligence artificielle en avait une définition plus longue, mais sans doute plus satisfaisante : Cela fait de l'IA non pas une science en tant que telle, mais plusieurs branches qui se sont développées au cours des six dernières décennies : reconnaissance de la parole ou des images, apprentissage automatique....
Le terme d'intelligence artificielle inventé, par Minsky [19] et son collègue McCarthy[20], chercheur au Massachusetts Institute of Technology (MIT) avec comme définition « La construction de programmes informatiques capables d'accomplir des tâches qui sont, pour l'instant, accomplies de façon plus satisfaisante par des êtres humains ». Cette démarche pluridisciplinaire apparaît pour la première fois à l'occasion d'un colloque scientifique organisé l'été 1956, sur le campus de l'université de Dartmouth, dans le New Hampshire, USA.
Ridiculisée : À ses débuts, l'idée d'une machine capable de penser était perçue comme absurde ou relevant de la science-fiction : « L’intelligence artificielle est un fantasme de science-fiction, elle ne pourra jamais rivaliser avec l’intelligence humaine ». Comme l'explique le Français Luc Julia[21], l'un des inventeurs du système de commande vocale Siri d'Apple, « toutes ces technologies ont pour but de nous assister dans des tâches ponctuelles, souvent répétitives et fortement codifiées. Elles nous fournissent une aide qui vient amplifier notre humanité, et augmenter nos capacités intellectuelles, mais elles ne peuvent en aucun cas nous remplacer ». Aujourd'hui le vice-président de l'innovation de Samsung récuse même le terme d'intelligence artificielle, pour lui préférer celui d'intelligence augmentée.
Combattue : Une étude récente du Massachusetts Institute of Technology (MIT) MIT Future Tech[22] indique que les inquiétudes concernant l’IA et l’emploi sont en hausse, mais que l’automatisation complète reste encore trop coûteuse pour de nombreuses entreprises. Une autre étude du MIT en 2018 a révélé que 60% des travailleurs craignaient que l’IA remplace leurs emplois, alimentant ainsi la résistance à son adoption.
Acceptée : L'intelligence artificielle aujourd'hui est un domaine à évolution aussi rapide qu’exponentielle, elle s’intègre dans tous les domaines du quotidien à la recherche avancée. Ses vertus sont nombreuses, gain de temps, amélioration de la productivité. Elle facilite la prise de décision par sa capacité de traiter les informations. Le frein à l’acceptation réside sur la confiance des traitements obtenus, 66 % des utilisateurs réguliers de l'IA ne lui font pas totalement confiance[23]. Une autre étude du MIT menée en collaboration avec Amazon[24] montre que 60 % des travailleurs utilisant l’IA et la robotique perçoivent ces technologies comme bénéfiques pour leur productivité et leur sécurité.
L’IA est en train d’évoluer du statut de l’utopie à celui d’instrument incontournable et suivant les trois étapes décrites par Schopenhauer. La condition de la réussite est la maitrise de son pilotage. Les êtres humains qui ont cette charge ne sont pas à l’abri de leur incompétence comme par exemple : « Une vidéo gouvernementale sur la Résistance française[25], une vidéo générée par IA pour célébrer la Résistance a été supprimée après des critiques. Elle montrait un soldat allemand célébrant la victoire française, une erreur historique qui a provoqué l'indignation ». Ce qui est directement et exclusivement en cause c’est l’incompétence des opérateurs et de celui qui a donné son accord de publication.
L’exploitation des soft skills par l’intelligence artificielle générative conversationnelle est acceptable que dans la mesure où le référentiel utilisé et les algorithmes de l’IA sont sous la régulation de l’expertise des opérateurs et des décideurs.
Conclusion
« Si tu te plains, c’est que tu n’as rien d’autre à faire », Natacha St Pier[26]
La conclusion de cet article est incluse dans la citation de Schopenhauer. « Toute vérité passe par trois étapes : d'abord elle est ridiculisée, ensuite elle est violemment combattue, et enfin elle est acceptée comme une évidence ». En effet il suffit d’être en capacité d’accepter le ridicule comme le propose Georges Courteline[27] : « Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet ». De combattre selon les principes de Gandhi[28] : « La force du nombre ne réjouit que le peureux. Celui qui est courageux en esprit se fait gloire de combattre seul ». De faire preuve de patience, selon Corneille[29], en suivant les bons conseils que donne Don Fernand[30], roi de Castille à Don Rodrigue qui vient de tuer le père de Chimène, après qu’il eut exprimé son désarroi.
Don Rodrigue :
Pour posséder Chimène, et pour votre service,
Que peut-on m'ordonner que mon bras n'accomplisse ?
Quoi qu'absent de ses yeux il me faille endurer,
Sire, ce m'est trop d'heur de pouvoir espérer.
Don Fernand :
Espère en ton courage, espère en ma promesse
Et possédant déjà le cœur de ta maîtresse,
Pour vaincre un point d'honneur qui combat contre toi,
Laisse faire le temps, ta vaillance et ton roi.
Ainsi le temps se trouve mobilisé au service de l’ambition comme l’a exprimé Winston Churchill[31] : « Le succès n'est pas final, l'échec n'est pas fatal : c'est le courage de continuer qui compte ».
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[1] Arthur Schopenhauer, 1788 – 1860, philosophe, allemand.
[2] Galileo Galilei, 1564-1642, homme de sciences, italien.
[3] Nicolas Copernic, 1473-1543, homme de sciences, polonais.
[4] Le Monde comme volonté et comme représentation, Die Welt als Wille und Vorstellung, Brockhaus, 1819.
[5] Simone de Beauvoir, 1908 – 1986, femme de lettre, française.
[6] Claude Monet, 1840 – 1926, artiste, français.
[7] Pierre-Auguste Renoir, 1841-1919, artiste, français.
[8] Edgar Degas, 1834 – 1917, artiste, français.
[9] Georges Lucas, 1944 - , cinéaste, américain.
[10] Joanne Kathleen Rowling, 1965 - , femme de lettre, britannique.
[11] Lao-Tzu, Lao Tseu, Laozi, VIᵉ ou Vᵉ siècle av. J.-C., philosophe, chinois.
[12]Le DRH, les phrases, le modèle et les soft skills ! (adp.com)
[13] U.S. Continental Army Command and U.S. Army Defense School, 1972
[14]https://shs.cairn.info/revue-management-et-avenir-2017-5-page-129?lang=fr
[15]The Soft Skills Disconnect - National Soft Skills Association
[16]3. Skills outlook - The Future of Jobs Report 2025 | World Economic Forum
[17]Les 6 soft skills les plus recherchés par les recruteurs
[18]D’ici à 2030, les soft skills seront au cœur des stratégies de recrutement des entreprises - France Travail | francetravail.org
[19] Marvin Minsky, 1927 – 2016, scientifique, américain.
[20] John McCarthy, 1927 – 2011, mathématicien et informaticien, américain.
[21]https://shs.cairn.info/revue-constructif-2019-3-page-5?lang=fr#re3no3
[22]Remplacer les travailleurs humains par l'IA n'est pour le moment pas rentable pour de nombreuses entreprises, suggère une étude du MIT
[23]La confiance, enjeu majeur de l’adoption de l’IA
[24]Employees see robotics and AI’s safety and career benefits, MIT study shows - France | About Amazon
[25]Erreur historique, utilisation de l’IA… Une vidéo du gouvernement sur la Résistance française supprimée après des critiques
[26] Natasha St-Pier, 1981 - , artiste, canadienne.
[27] Georges Victor Marcel Moinaux, dit Georges Courteline, 1858 – 1929, homme de lettres français.
[28] Mohandas Karamchand Gandhi, dit Mahatma Gandhi, Grande Âme, 1869 – 1948 homme politique et spirituel, indien.
[29] Pierre Corneille, 1606 – 1684, homme de lettre, français.
[30] Le Cid, tragédie, Corneille, 1637.
[31] Winston Churchill, 1874 – 1965, homme d’état, britannique.